Le climat semble peu influencer la dynamique de la Covid-19
Le Quotidien du Médecin, Hebdo, 19 février 2021, n°9887Selon les chercheurs de l’unité " Biostatistiques et processus spatiaux " de l’INRAE (Institut national de recherche pour l’alimentation, l’agriculture et l’environnement) d’Avignon," la dynamique géographique de l’épidémie de Covid-19 en France au début de l’été 2020 ne peut être expliquée que par des facteurs nationaux : les déplacements et les mesures sanitaires. En dehors de la densité de population, aucun facteur n’entrait en jeu et notamment pas le climat".
(publié le 25 février 2021)
Le corps médical continue à se féminiser
Le Quotidien du Médecin, Hebdo, 19 février 2021, n°9887En 2020, parmi les praticiens de moins de 40 ans, les femmes représentent 65% des généralistes, 62% des jeunes spécialistes médicaux et 48% des nouveaux chirurgiens.
Sur l’ensemble des praticiens inscrits en activité régulière, 49% sont des femmes avec des écarts marqués selon les disciplines.
En 2018, 52% des postes de PH temps plein étaient occupés par des femmes mais seulement 21% de ceux de PU-PH.
(publié le 25 février 2021)
Sur l’ensemble des praticiens inscrits en activité régulière, 49% sont des femmes avec des écarts marqués selon les disciplines.
En 2018, 52% des postes de PH temps plein étaient occupés par des femmes mais seulement 21% de ceux de PU-PH.
Modélisations de l’épidémie de SARS-CoV-2 / Covid-19 : l’Institut Pasteur met en ligne un nouvel espace dédié
Sur le site de l’Institut Pasteur, le 24/02/2021L’Institut Pasteur met à disposition du public son travail de modélisation de l’épidémie du coronavirus.
Les modèles mathématiques ont pour objectif d’aider à mieux comprendre comment les virus se propagent dans les populations, à quantifier les risques, à évaluer l’impact des mesures de contrôle et à anticiper.
Pour consulter les différents travaux réalisés par l’unité de Modélisation mathématiques des maladies infectieuses, l’Institut Pasteur a mis en place un site internet https://modelisation-covid19.pasteur.fr/
(publié le 25 février 2021)
Les modèles mathématiques ont pour objectif d’aider à mieux comprendre comment les virus se propagent dans les populations, à quantifier les risques, à évaluer l’impact des mesures de contrôle et à anticiper.
Pour consulter les différents travaux réalisés par l’unité de Modélisation mathématiques des maladies infectieuses, l’Institut Pasteur a mis en place un site internet https://modelisation-covid19.pasteur.fr/
Maladies chroniques et risque de formes sévères de Covid-19
Le Généraliste, 12 février 2021Selon une étude d’Epi-phare, les sept pathologies les plus à risque de formes sévères de Covid-19 sont la trisomie 21, le retard mental, la transplantation rénale, la transplantation pulmonaire, la mucoviscidose, l’insuffisance rénale chronique en dialyse et le cancer du poumon.
(publié le 25 février 2021)
L’origine de la COVID-19 non identifiée
Le Généraliste, 12 février 2021Les experts chinois et les experts de l’OMS détachés 4 semaines à Wuhan n’ont pas réussi à établir l’origine de la pandémie. La fuite du SARS-CoV-2 d’un laboratoire parait improbable. Si la transmission d’origine animale reste la piste privilégiée, bien que l’animal n’ait pu être identifié, rien n’est arrêté.
(publié le 25 février 2021)
Covid 19 : Les SST pourront vacciner certains salariés dès le 25 février
Liaisons Sociales QuotidienA partir du 25 février 2021, le vaccin d’Astra-Zeneca contre la Covid-19, pourra être administré aux salariés de 50 à 64 ans présentant des comorbidités, dans les services de santé au travail (SST) autonomes et interentreprises volontaires.
La Direction Générale du Travail (DGT) a diffusé un protocole le 16 février qui organise cette vaccination.
(publié le 25 février 2021)
Le SARS-CoV-2 présent en France au moins depuis novembre 2019
JIM.fr, 11 février 2020La cohorte Constances a permis d’identifier 353 participants avec un test IgG anti-SARS-CoV-2 positif, parmi lesquels 13 ont été prélevés entre novembre 2019 et janvier 2020. Un second test effectué chez ces 13 patients a révélé la présence d’anticorps neutralisants. 11 d’entre eux avaient présenté des symptômes compatibles avec cette affection. « Cela suggère une circulation précoce du SARS-CoV-2 en Europe »
(publié le 12 février 2021)
Maladies liées au cannabis
Coordonnateur J-P. GoulléCe très important dossier thématique réparti sur deux numéros traite dans son exhaustivité, des maladies liées au cannabis.
La première partie (volume 1) rapporte :
La deuxième partie (volume 2) traite successivement des multiples pathologies induites par la consommation de cannabinoïdes :
Enfin dans le même volume (pp.436-444), six mille ans de l’histoire du cannabis médical sont retracés sur la base de connaissances paléobotaniques, archéologiques et historiques.
(publié le 9 février 2021)
La première partie (volume 1) rapporte :
- des données épidémiologiques et sanitaires relativement à un usage festif, puis décrit
- le mécanisme d’action du THC (tétrahydrocannabinol) qui par l’intermédiaire des récepteurs des endocannabinoïdes développe une grande variété d’effets ;
- les effets épigénétiques du THC et leurs conséquences, considérées en fonction de la période d’exposition au cannabis (pré-conceptionelle, per-gravidique et à partir de l’adolescence) ;
- les examens biologiques pouvant être pratiquées en milieu hospitalier.
La deuxième partie (volume 2) traite successivement des multiples pathologies induites par la consommation de cannabinoïdes :
- pathologies cardio-vasculaires,
- atteintes vasculaires cérébrales,
- pancréatite aiguë,
- syndrome d’hyperémèse cannabinoïde : triade associant usage chronique de cannabis, troubles digestifs et comportement compulsif de prise de bains ou de douches chaudes,
- troubles anxieux, troubles dépressifs, conduites suicidaires,
- troubles psychotiques,
- atteintes pulmonaires liées au cannabis inhalé.
Enfin dans le même volume (pp.436-444), six mille ans de l’histoire du cannabis médical sont retracés sur la base de connaissances paléobotaniques, archéologiques et historiques.
Le signe de Koplik n’est pas pathognomique de la rougeole
la Presse médicale, 2020, vol. 1, n°4, p.321-322Le signe de Koplik (du nom du pédiatre américain qui l’a décrit en 1896) : points blanc-bleuâtres sur la muqueuse jugale érythémateuse, a longtemps été considéré comme pathognomonique de la rougeole. Si ce signe peut être utile au cours d’une épidémie de rougeole, c’est une manifestation inconstante au cours de cette maladie et sa spécificité n’est pas absolue. Ce signe a été retrouvé dans l’infection à parvovirus B19 (cinquième maladie) ou les oreillons.
(publié le 9 février 2021)
Immunité post Covid-19
Le Généraliste, 22 janvier 2021Une étude britannique menée sur plus de 20 000 soignants suggère que la maladie COVID-19 semble protéger à plus de 80% contre les réinfections pendant au moins cinq mois, mais que les anciens malades peuvent porter et transmettre le virus.
(publié le 9 février 2021)
Faire le bon choix du masque
Le Généraliste, 22 janvier 2021Face à la propagation en France de variants du SRAS COV-2, le Haut Conseil de Santé publique recommande de ne plus utiliser les masques artisanaux ou les masques industriels de catégorie 2 dont le pouvoir filtrant n’est que de 70%.
Par contre, les masques industriels grand public de catégorie 1 dont le pouvoir filtrant dépasse 90% restent conseillés.
De surcroît, la distanciation sociale est portée à deux mètres.
(publié le 9 février 2021)
Par contre, les masques industriels grand public de catégorie 1 dont le pouvoir filtrant dépasse 90% restent conseillés.
De surcroît, la distanciation sociale est portée à deux mètres.
L’incroyable course aux vaccins
L’Usine Nouvelle, n°3690, Janvier-Février 2021Cet article synthétique revient sur les avancées technologiques et la mobilisation industrielle qui ont été mises en œuvre pour mettre les premiers vaccins contre la Covid sur le marché.
Avec, notamment, la saisonnalité du vaccin et la multiplication des variants, cette course technologique et industrielle ne fait que commencer.
(publié le 2 février 2021)
Avec, notamment, la saisonnalité du vaccin et la multiplication des variants, cette course technologique et industrielle ne fait que commencer.
Un CACES réévalué
Appliquée depuis le début de l’année 2020, la réforme des CACES (certificat d’aptitude à la conduite en sécurité) a rénové en profondeur le dispositif.
Deux nouvelles familles ont été intégrées dans le référentiel technique : "les ponts roulants et portiques" et les chariots de manutention gerbeurs à conducteur accompagnant". Les formations sont plus poussées et les modalités plus exigeantes pour les tests.
(publié le 2 février 2021)
Deux nouvelles familles ont été intégrées dans le référentiel technique : "les ponts roulants et portiques" et les chariots de manutention gerbeurs à conducteur accompagnant". Les formations sont plus poussées et les modalités plus exigeantes pour les tests.
Vaccination anti-COVID 19
Univadis, janvier 2021Suivant l’avis de l’Agence européenne du médicament du 4 janvier et celui du groupe SAGE de l’OMS du 5 janvier, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) a annoncé le 7 janvier la possibilité de différer la deuxième dose du vaccin Pfizer/BioNTech jusqu’à 6 semaines au lieu des 3 semaines recommandées après la première injection (afin de disposer de davantage de doses pour la première injection).
L’EMA (Agence européenne du médicament) vient de donner son accord pour vacciner 6 personnes avec un flacon de 5 doses du vaccin. Il apparaît en effet, que que une fois reconstitué, le flacon contiendrait en effet une 6e dose (6 fois 0,30ml). Cette stratégie a déjà été approuvée par la FDA (Food drug administration).
Mais il est bien entendu qu’il ne faut pas utiliser plusieurs flacons pour constituer une dose supplémentaire.
(publié le 25 janvier 2021)
L’EMA (Agence européenne du médicament) vient de donner son accord pour vacciner 6 personnes avec un flacon de 5 doses du vaccin. Il apparaît en effet, que que une fois reconstitué, le flacon contiendrait en effet une 6e dose (6 fois 0,30ml). Cette stratégie a déjà été approuvée par la FDA (Food drug administration).
Mais il est bien entendu qu’il ne faut pas utiliser plusieurs flacons pour constituer une dose supplémentaire.
Les webinaires de l’INRS
Références en Santé au Travail, 2020, n°164.Dans la continuité de ce qui a été proposé en 2020, l’INRS poursuit l’organisation de webinaires consacrés chacun, à un des thèmes de prévention en entreprise.
Animés par des experts de l’Institut qui font le point sur un risque, son évaluation et les mesures de prévention associées, les webinaires sont ensuite accessibles en ligne sous forme de vidéo (durée 40-50 minutes).
Programme, inscriptions, replay sur www.inrs.fr/webinaires
(publié le 15 janvier 2021)
Animés par des experts de l’Institut qui font le point sur un risque, son évaluation et les mesures de prévention associées, les webinaires sont ensuite accessibles en ligne sous forme de vidéo (durée 40-50 minutes).
Programme, inscriptions, replay sur www.inrs.fr/webinaires
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